Fripoun'Actu

Le monde des années 60/70 vu par Fripounet

82 pages…

J’ai fini la rédaction pour cette année !

Avec la présentation, les annexes, les inventaires de toutes sortes… j’arrive à 82 pages… Je doute que mon prof ne calcule pas que j’ai dépassé le quota… mais je pouvais difficilement réduire.

Le texte est parti à la correction, chez quelqu’un de beaucoup plus douée que moi en orthographe… Donc j’attends, en s e m i – v a c a n c e s .

La bonne nouvelle c’est que j’ai ma date de soutenance pour cette année :

le 28 juin à midi

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Dernière ligne droite

C’est la dernière ligne droite de l’année universitaire.

J’aimerais avoir fini de rédiger 50 pages pour vendredi. J’en suis déjà à 46 pages… Les 4 prochaines devraient être atteignables. Je ne poste pas beaucoup en ce moment, car j’aimerais qu’on ne m’accuse pas de plagiat venant de mon propre blog, mais dés lors que mon prof aura reçu le premier jet, je vous mets toutes mes premières conclusions.

À cette moment de l’écriture, je ne peux m’empêcher d’être traverser par tous les doutes du monde :

Est-ce que je fais VRAIMENT ce qui est demandé ?

Est-ce que je fais plus de pages ? Moins de pages ?

Est-ce que ça vaut une bonne note ?

Est-ce que je pourrai soutenir fin juin ?

Est-ce que j’aurai le temps de faire tout ce que je veux faire l’année prochaine ?

Qui suis-je ? Où vais-je ? Dans quelle étagère ?


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J’apprends avec Fripounet

Il y a quelque temps, un vaste débat agitait des geeks (tout aussi agités) de ma connaissance… La question était de savoir qu’est ce qui produit les « crop circles » (=> kécécé ?)

Il me semblait que j’avais déjà trouvé une réponse convaincante quelque part, mais impossible de savoir où. Or, en cherchant (désespérément) à établir une chronologie des ancêtres de Fripounet, je suis retombée sur le premier Fripounet (bonjour l’ancêtre pour le coup)… Et voici ce que j’ai trouvé :

Vous entendez ça ? Vive M. Hollande, le découvreur du secret des ronds de sorcière !

***

Pour ces qui est de l’avancée de mes recherches, la rédaction avance, peut-être aurez vous quelques extraits en avant-première bientôt…

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« Vous avez 3 mois »

(et oui, encore une référence à Astérix et Obélix… C’est l’école belge qui fait ça…)

Et oui, plus que trois tout petits mois avant de soutenir…

si tant est que mon prof soit d’accord, qui j’ai terminé, qu’il n’y ai pas de catastrophe naturelle ou industrielle à Caen, que je ne trouve plus de mauvaises excuses pour ne pas m’y mettre…

J’ai percé le mystère du Baby-boum !

En fait on appelle Baby-boum que le « boum » du début : la stabilisation qui suit, même si il y a encore beaucoup de bébés, ce n’est plus le Baby-boum, puisque la proportion de bébés dans la population n’est plus aussi forte. Eh oui, puisque les premiers bébé grandissent, le pourcentage de bébés n’est plus aussi fort dans la population, même si il y a beaucoup de bébés… Vous me suivez ?

Et histoire de répondre à tout ceux qui pense que mon sujet ne sert à rien, et que les enfants ce n’est quand même pas très sérieux… Ainsi qu’à tout les autres lecteurs ;)… Voici une citation que vous pourrez ressortir dans des dîners mondains :

« Cette presse diversifiée, dynamique, contrainte à la créativité permanente et au constant renouvellement, en une spécificité et une richesse de la France. Elle serait peut-être en fait la seule véritable « exception culturelle » du pays si elle bénéficiait des égards dus à ses qualités même par ceux qui, lors de l’annuelle semaine de la presse dans les écoles et les collèges, imposent la lecture et la seule analyse de journaux pour adultes à leurs élèves ! »

Perrin Raymond, Littérature de jeunesse et presse des jeunes au début du XXIe siècle, Editions L’Harmattan, 2008, 581 p.

Vous voyez ! J’œuvre pour la grandeur de la patrie…

Je le savais !

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Les trucs pointus là ?…

Ça fait encore mile ans que je n’ai pas poster, mais entre les vacances et la gastro, il faut du temps pour s’organiser…

Mes recherches continuent toujours, petit à petit.

En ce moment, en plus de lire des Fripounet (vous m’enviez n’est-ce pas ?), je suis en train d’essayer de me concentrer sur ce que je dois rendre à la fin de l’année : à savoir un DOSSIER de recherche (on ne parlera vraiment de « mémoire » que l’année prochaine) (maintenant, vous ne m’enviez plus…). Ce dossier doit contenir « une introduction définissant le sujet, une problématique, la bibliographie, une esquisse d’historiographie de la question choisie, et des pistes d’investigation » et doit faire 30 à 50 pages. De là un balancement entre « rolala, je ne remplirai jamais tout ça ! » et « mais comment vais-je faire pour tout faire tenir en 50 pages ! ».

Me voilà donc, entre autre, en train d’essayer de dresser l’historiographie de mon sujet.

L’historiographie, kécécé ?

Pour faire simple, c’est l’histoire de l’histoire. On ne fait pas de l’histoire de la même façon quand on est Hérodote (vu comme le premier historien), on quand on fait de l’histoire dans les années 20, 80 ou 2000… Donc il faut que je détermine comment les différents aspects de mon sujet ont pu être traité avant moi, quand est-ce qu’on a commencé à s’y intéresser…

Bon le problème c’est qu’il n’y a pas vraiment de livre d’histoire qui se nomme « parler de l’actualité aux enfants ». Il y des livres d’histoire sur l’enfance, il y a des livre sur l’histoire des médias… C’est déjà bien.

Pour ma part, je date le moment où on commence à s’intéresser vraiment à l’enfant en tant qu’objet historique avec le début du Babyboum. En témoigne par exemple l’œuvre de Philippe Ariès, qui est significative (en plus d’avoir eu un fort retentissement) :

  • Les Traditions sociales dans les pays de France, Éditions de la Nouvelle France, 1943.
  • Histoire des populations françaises et de leurs attitudes devant la vie depuis le XVIIIe siècle, Self, 1948.
  • Attitudes devant la vie et devant la mort du XVIIe au XIXe siècle, quelques aspects de leurs variations, INED, 1949.
  • Sur les origines de la contraception en France, extrait de Population. No 3, juillet-septembre 1953, pp 465-472.
  • Le Temps de l’histoire, Éditions du Rocher, 1986.
  • Deux contributions à l’histoire des pratiques contraceptives, extrait de Population. N ̊ 4, octobre-décembre 1954, pp 683-698.
  • L’Enfant et la vie familiale sous l’Ancien Régime, Plon, 1960.

Ça n’a l’air de rien, mais il commence d’abord par étudier le rapport des Français avec la mort : quand on sait qu’on est au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, on peut comprendre qu’il se pose cette question. Ensuite il s’intéresse à l’histoire de la contraception : on est en plein dans le Baby-boum, et la question de la contraception se fait plus présente. Enfin, L’Enfant et la vie familiale sous l’Ancien Régime marque beaucoup à sa sortie.

Le propos nous concerne peu (bien qu’il ai soulevé de vif débat), ce qui nous intéresse, c’est de constater que les enfants, de leur conception à leur perception, sont devenus un objet d’histoire important avec le Baby-boum.

Les historiens ne sont pas coupés du monde : ils interrogent le passé avec des questions qu’ils forment dans leur époque. C’est pour ça que l’histoire est inépuisable (ouf ! Les historiens ne sont pas prêts d’être au chômage!).

Bref, tout ça pour dire que je m’intéresse au Baby-boum, et que c’est bien joli, mais il fait quand même que je définisse le Baby-boum…

Quand on m’a enseigné le phénomène, j’ai scrupuleusement appris qu’il commençait tôt et finissait tôt en France. Histoire l’illustrer mon propos, je suis allée sur le site de l’INSEE, pour aller chercher les pyramides des ages correspondantes.

Mais là… stupeur et tremblement : la remontée démographique débute bien en 1942, le pic à bien lieu au début des années 50… MAIS : il y a ensuite une stabilisation qui dure qui duuuure (jusque au début des années 70) …

Plusieurs hypothèses : soit mes profs m’ont racontées des salades (ce que j’aimerai quand même exclure), soit la notion de Baby-boum soulève le débat.

Parce que en même temps, on parle souvent des enfants du Baby-boum comme étant ceux ayant impulsés Mai 68, et donc, ceux qui font parti du pic du début des années 50… Et les autres alors ? Pourquoi on en parle pas ? On était habitué ?

Enfin bref, me voilà toute consouillée… espérons que Jean François Sirrinelli avec Les Baby-boomers voudra bien m’en dire un peu plus.

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Euréka !

L’intéressant dans la recherche, c’est quand même de trouver (si quand même).

Or dans mon cas, il y avait quand même une zone d’ombre que je n’arrivais pas à éclaircir.

Des organisations repassaient devant mes yeux comme un catalogue : Union des Œuvres Catholiques de France, Cœurs Vaillants – Âmes Vaillantes, club Fripounet, Action Catholique des Enfants, Fleurus presse…

MAIS QUEL EST LE RAPPORT ENTRE TOUT ÇAAAAAA !

Admettez que ça pose question !

Pour vous faire un résumé des épisodes précédents :

  • Fleurus est la maison de presse qui publie Fripounet.
  • L’Action Catholique des Enfants, c’est ce qui gère les Cœurs Vaillants – Âme Vaillantes, qui est un mouvement de jeunes Catholiques.
  • Et l’Union des Œuvres Catholiques de France, et bah… Elle semble être partout, mais personne ne semblait disposé à vouloir me dire ce qu’ils faisaient, à part se réunir périodiquement pour décider ce qu’il faut absolument mettre dans mon journal préféré.

Et bien je crois que j’ai fini par démêler tout ça (d’où : Eurêka!).

L’Union des Œuvres Catholiques de France est une organisation de religieux et de laïcs, réunis pour faire valoir la portée sociale de l’Église, avec des initiatives comme des congrès internationaux, ou des organisations comme…Cœurs Vaillants – Âme Vaillantes. À l’origine, c’était une organisation pour donner un coup de fouet au patronage, et c’est devenu au fil du temps une organisation avec des camps d’étés, des animateurs, des skis bible (cette organisation à une longue histoire, pour plus de renseignement, je vous conseille cette lecture)…

Le mouvement Cœurs Vaillants – Âme Vaillantes va changer plusieurs fois de nom, pour devenir finalement l’A.C.E. (Action Catholique des Enfants).

Quel est le rapport entre ce mouvement de jeunesse et Fleurus ?

Et bien il apparaît que Fleurus est aussi une création de l’Union des Œuvres ! En effet, le groupe Fleurus est chargé d’éditer les supports de l’activité de l’Union des Œuvres, et surtout l’action envers les enfants. Et ils ne font pas simplement les journaux, mais aussi des livres, des disques… Dont Fripounet lui même se fait l’écho.

Étant édité par Fleurus, il est donc normal que Fripounet relaie les informations de l’Union des Œuvres et de l’A.C.E.. Ils fonctionnent ensemble : les campagnes d’année (un thème donné à chaque année) de l’A.C.E. sont enrichies par Fripounet, les grands jeux et les journées événements sont du fait de l’A.C.E…. Des ordres d’écriture sont donné aux rédacteurs de Fripounet, par l’Union des Œuvres.

Il faut toutefois noter que Fripounet reste un journal généraliste, visant à toucher tout les enfants. Ce n’est PAS l’organe de presse de l’A.C.E.. Pour les Cœurs Vaillants – Âmes Vaillantes (C.V. – A.V.), il y a d’autres journaux d’édités, comme Tric et Truc.

D’où l’existence des clubs Fripounet : ils sont de l’initiative directe des enfants, et ne sont pas des C.V. – A.V.. Eux en revanche, ne fonctionnent parfois que grâce aux idées du journal et surtout grâce à la bonne volonté de ses membres, enfants et parrains ou marraines (qui sont « des grands » qui aident les petits à mener à bien leur projets). Ces clubs deviennent parfois très important, et pourraient se confondre avec des C.V. – A.V.. D’autant que les réglementations visant l’accueil des jeunes deviennent de plus en plus encadrantes (avec animateurs, locaux, direction…).

Pourquoi les rapports entre toutes ces organisations sont aussi emmêlée ?

Eh bien imaginez que tout ce beau monde travaillait dans les même locaux pendant une longue période. Pensez aussi qu’avec le Centre de travail et de documentation de l’Union des Œuvres Catholiques de France, il travaillait sur les même documents, sur les même base et réfléchissait ensemble à l’enfance de leur temps. D’autre part, les rédacteurs de Fripounet sont très souvent des membres du mouvement C.V. – A.V., et un aumônier du mouvement est présent à la rédaction. Ce sont donc des organisations très liées.

Mais pourquoi, dés lors, leur rapports ne semblent pas plus clairs ?

Certainement parce que l’Union des Œuvres a peu à peu cessé de faire le lien. Sur le site des Chrétiens en Forum (qui sont la suite de l’Union des Œuvres) il est précisé que les congrès cessèrent en 1969. En 1984, l’organisation renoue avec sa portée sociale.

En étudiant les années 1960 et 1970, il apparaît qu’il s’agit en fait d’années de profonds changements dans l’organisation, et donc il est difficile d’y comprendre quoi que ce soit…

Dernière question : et quel est le rapport avec l’actualité dans Fripounet ?

Fripounet rapporte, d’abord, beaucoup l’actualité du mouvement.

La ligne éditoriale, ensuite, en est très influencée.

Petit rappel : la ligne éditoriale sont les choix établis par une rédaction pour se conformer à un ligne morale ou éthique.

Et dans le cas de Fripounet, la ligne éditoriale suit les conseil de l’Union des Œuvres, et « prend la température » du monde des enfants grâce à l’A.C.E.. Or la ligne éditoriale est très importante, surtout dans la presse pour enfant : elle détermine ce qu’on va dire ou pas, et comment on va le dire au lecteur.

Bref, c’est à mon sens indispensable…

 

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Je suis de retour !

J’ai l’impression d’être : de ces explorateurs de la fin XIXe – début XXe, avec leur carnet de croquis à la sanguine et à l’aquarelle, qui partent en des terres encore inconnues, pleines de cannibales aux étranges mœurs et de plantes carnivores de la taille d’un baleineau.

Je n’étais pas vraiment aux antipodes, mais ce voyage géographiquo-historique (excusez de peu) à pris des accents de grandes expéditions, avec ma valise de 100 jours, les retards de la SNCF, la cuisine à la bouilloire, et bien sûr les découvertes faites aux archives de la Cité Internationale de la Bande-Dessinée et de l’Image d’Angoulême (C.I.B.D.I.), et à celles de l’Action Catholique des Enfants (A.C.E.).

À Angoulême d’abord. J’ai trouvé une ville en plein démontage du festival, avec engins de chantier et vestiges publicitaires. Au CIBDI, j’ai épluché les fonds Fleurus, laissé par Eudes de la Poterie. « Le centre de documentation des éditions Fleurus rassemblait, depuis sa création en 1946, l’ensemble des publications périodiques francophones pour la jeunesse et un échantillonnage de publications étrangères et de documentation sur le sujet. Quarante ans plus tard, Fleurus fermant ce service, son directeur, Eudes de la Poterie, signa avec le Cnbdi une convention de don pour l’ensemble de sa collection. » nous dit le Bulletin des Bibliothèque de France. Ce qui n’a pas été directement mis dans les rayonnages du centre de documentation est restées dans des boites de classement, avec leur anciennes nomenclatures. Une seule solution pour connaître leur contenu : les ouvrir.

J’ai pu y découvrir de nombreux documents, souvent rédigé par Eudes de la Poterie lui même, préparant par exemple des brochures éditées par l’Union des Œuvres Catholiques Française (éditeur de Fripounet, qui devient Fleurus). En quoi est-ce différent d’une simple entrée bibliographique ? Qu’est-ce qui en fait une source ? Il s’agit de la vision que l’U.O.C.F. à de la presse pour enfant. C’est son opinion, ce qu’elle constate, même si le travail d’Eudes de la Poterie n’est pas dénué de rigueur et d’honnêteté scientifique. Il s’agit aussi d’une base de travail pour les rédacteurs de Fripounet. Il s’agit donc d’une source qui éclaire la politique éditoriale de Fripounet. Or cette politique détermine la façon dont l’actualité est abordé dans le magazine.

Dans ce fond il y a par ailleurs des brochures publicitaires, des documents à destinations des parents etc… Autant de sources qui permettent de rendre compte de la politique éditoriale de Fripounet. Y compris des documents traitant directement de l’actualité.

En bref, un fond riche, qui n’attend qu’un stagiaire en archivistique pour cataloguer, classer…

Et en plus, j’ai même eu le droit à un article sur leur site (c’est la classe !) : ICI

À Paris ensuite. Quitte à voyager, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Me voilà donc partie pour consulter les archives de l’A.C.E. à Paris.

Ce qui me permet aussi de rencontrer les membres de l’organisation qui a donné naissance à Fripounet. En effet, l’Action Catholique des Enfants EST le mouvement Cœurs Vaillants – Âmes Vaillantes. C’est en voulant s’ouvrir au milieu rural que Cœurs Vaillants – Âmes Vaillantes, avec l’Union des Œuvres, décide de publier Fripounet et Marisette (je ferai un topo sur l’histoire du journal dans un futur poste).

Autant dire que leur collaboration à mon projet est primordiale pour moi.

Sans compter qu’il me reste à démêler un sacré paquet de nœuds : il y a DEUX structures : CV-AV et l’UOCF ; et UN chaînage de journaux à destinations des jeunes catholiques. Qui fait quoi là dedans ? Surtout que une fois dans les archives de l’A.C.E., on se rend vite compte qu’il n’y a aucun document concernant l’écriture du journal, mais qu’il y a les disques présentés dans Fripounet (je vais avoir des envieux), les préparations et les comptes-rendus des « campagnes d’année » (thème de l’année autour des quels tourne les jeux et les thèmes abordés dans Fripounet), des photos de grands jeux… On voit aussi d’autre publication qui n’ont à priori rien à voir comme Tric et truc (dans lequel on retrouve pourtant Nestor), ou Relai

Ces deux structures apparaissent très liées (elles ont été longtemps dans le même bâtiment). Il faut que je détermine leur relation exacte (ne vous inquiétez pas, j’ai déjà quelques idées) pour savoir qui écrit et comment on écrit dans Fripounet, qui n’a vraisemblablement pas pour rôle d’être l’organe de presse de mouvement, puisqu’il veut toucher tous les enfants.

Bref, qui ose dire à présent que l’histoire n’est pas une enquête ?

Pour clore cette épisode de ma petite vie, quelques remerciements en vrac, de tous ceux qui ont fait que ces voyages n’ont pas été du simple tourisme :

Damien et la Gendarmerie d’Angoulême pour la chambre. Catherine Ternaux pour m’avoir accueillie au centre de documentation de la CIBDI. Toute l’équipe de l’A.C.E. pour son accueil, son aide et son enthousiasme. Le monsieur qui m’a aidé pour trouver la bouche de métro pour rentrer (je serai toujours à Paris sinon). Arnaud qui me suivait sur jabber, sur google map, et qui s’organise pour que mon travail me suive partout. Mes parents pour le kit cuisine à la bouilloire… … …

 

Et maintenant, il me reste à trouver un moyen pour consulter les archives de Fleurus elles mêmes… Si quelqu’un à une idée pour que j’y arrive (les joindre enfin, qu’ils soient d’accord…).

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Prise de tête…

Janvier est bien le pire moment de l’année scolaire, et les universitaire ne font pas exception.

Promenés de salle en salle, d’horaires en horaires, de trains en trains, d’archives en données… les étudiants en histoire commencent à ne plus bien savoir pourquoi ils étaient là au départ.

Et c’était compter sans les incessantes réformes de l’université : même les profs ne savent plus très bien ce que l’on doit faire, la maquette vient de changer, on essuie les plâtres…

Et voici comment quand on est étudiant en M1, on se retrouve avec plus d’heure de cours d’anglais ou d’informatique que de séminaire d’histoire. Et là dedans il faut caser les recherches, et pour beaucoup les matières « spéciales CAPES »…

Mais on ne perd pas espoir (ou si peu)…

Quand même quelques bonnes nouvelle se profilent à l’horizon : J’AI RETROUVÉ LES ARCHIVES DE L’UNION DES ŒUVRES / FLEURUS !!!!

Oui, l’idée qu’une maison d’édition complète puisse avoir perdue ses archives peut sembler vaguement angoissante, donc je préfère penser que mon projet les indiffère complétement.

Donc direction Angoulême la semaine prochaine (eh non pas pendant le festival…), avec ma petite valise et mon mouchoir plein d’espoir…

Étant donné les effectifs réduits du centre de documentation (personne ne semble épargné par les restrictions), les archives ne sont pas classées, et on ne sait même pas tellement ce qu’il y a dans ces mystérieuse boites… Je vais faire mon Champolion !

Et puisque je n’aurai sans doute pas eu mon quotas de cahots ferroviaires, je remets ça le lundi suivant : direction Panam. La secrétaire générale m’attends… J’ai intérêt à ne pas me perdre dans le metro :s .

Enfin voila, l’étudiant en histoire doit aussi se faire nomade, façon tortue pleine de sagesse (mmmh, qui porte sur son dos 4 éléphants… et la réponse est 42… ook ook…).

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Morceaux du boucher

Contrairement aux apparences, je n’ai pas disparu… Je travaille (et oui, même à la fac ça arrive…).

Pourtant, je ne résiste pas à vous livrer quelques morceaux de choix. S’ils ne concernent pas forcément directement l’actualité, ils permettent de ne pas s’endormir après des heures de lectures.

D’abord, pour mes copains geeks… retour aux sources, dans le numéro 8 de l’année 1960. Rah ! Si il avait su !

Fripounet 8 de 1960

Rah ! Si ils savaient !

En été, je suis Anima’tueuse 😉 . Alors je suis toujours à l’affut de bon bricolage ! En voici un du Fripounet 9, toujours en 1960 :

Et enfin… Un heu… Truc qui m’a laissé un peu…

Sans voix …

(F.M.10 1960)

Bas oui, bien sûr !

Un phoque qui a le permis poids lourds ça va tout à fait passer inaperçu !

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Avis de recherche

J’ai reçu récemment un gros arrivage de Fripounet, grâce aux recherches insatiables de ma famille (merci merci merci merci merci).

Seulement voila, nous sommes face à une disparition inexpliquée :

Où sont passé les numéros de Fripounet des année 70 à 75 ?!

C’est pour cela que je lance ici un avis de recherche !

Votre mission si vous l'acceptez : dénicher les Fripounet disparus !
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