(et oui, encore une référence à Astérix et Obélix… C’est l’école belge qui fait ça…)
Et oui, plus que trois tout petits mois avant de soutenir…
si tant est que mon prof soit d’accord, qui j’ai terminé, qu’il n’y ai pas de catastrophe naturelle ou industrielle à Caen, que je ne trouve plus de mauvaises excuses pour ne pas m’y mettre…
J’ai percé le mystère du Baby-boum !
En fait on appelle Baby-boum que le « boum » du début : la stabilisation qui suit, même si il y a encore beaucoup de bébés, ce n’est plus le Baby-boum, puisque la proportion de bébés dans la population n’est plus aussi forte. Eh oui, puisque les premiers bébé grandissent, le pourcentage de bébés n’est plus aussi fort dans la population, même si il y a beaucoup de bébés… Vous me suivez ?
Et histoire de répondre à tout ceux qui pense que mon sujet ne sert à rien, et que les enfants ce n’est quand même pas très sérieux… Ainsi qu’à tout les autres lecteurs ;)… Voici une citation que vous pourrez ressortir dans des dîners mondains :
« Cette presse diversifiée, dynamique, contrainte à la créativité permanente et au constant renouvellement, en une spécificité et une richesse de la France. Elle serait peut-être en fait la seule véritable « exception culturelle » du pays si elle bénéficiait des égards dus à ses qualités même par ceux qui, lors de l’annuelle semaine de la presse dans les écoles et les collèges, imposent la lecture et la seule analyse de journaux pour adultes à leurs élèves ! »
Perrin Raymond, Littérature de jeunesse et presse des jeunes au début du XXIe siècle, Editions L’Harmattan, 2008, 581 p.
Vous voyez ! J’œuvre pour la grandeur de la patrie…
Je le savais !
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